Presse
Harry Koumrouyan présente ses derniers romans et son parcours littéraire. Une interview introspective à voir absolument.
Au début, ce titre semble si incongru qu’il est difficile de se le remémorer. Ah, si, il fait allusion au défunt Empire britannique. Ce bateau qui porte ce nom, est une réminiscence de gloires passées, de traversées qui furent élégantes et à bord duquel les passagers sont censés passer du bon temps et s’amuser.
Harry Koumrouyan invité à parler de son dernier livre : "L'impératrice des Indes" à la Radio Suisse Romande dans l'émission Versus-Lire.
Harry Koumrouyan invité à l'émission Radioliteractif pour parler de son nouveau livre: "L'Impératrice des Indes"
Harry Koumrouyan est né à Genève. Après des études de lettres effectuées en Suisse et aux Etats-Unis, il poursuit une fructueuse carrière dans l'Instruction publique à Genève, directeur au Cycle d'Orientation, et responsable du personnel et de la formation continue des enseignants. Sa passion reste la littérature et il livre ici son premier roman, une fiction marquée au sceau de son itinéraire familial.
Ce récit familial se déroule entre Genève et New York, mais l'origine arménienne des personnages marque fortement leur vie, surtout lorsqu'ils cherchent à prendre leurs distances avec les événements dramatiques qui ont provoqué l'exil du pater familias.
L'ouvrage détaille l'histoire de trois générations : celle de Aram et Victoria Simonian, rescapés du Génocide, celle de leurs enfants, Arthur et Anoush, et le fils de cette dernière, Joseph.
Ancien directeur de collège et haut fonctionnaire au DIP, Harry Koumrouyan vit à Genève et publie son premier roman aux Editions de lʹAire "Un si dangereux silence".
De très nombreux ouvrages sont parus fin 2015 et en ce début de 2016 en Suisse romande, souvent publiés par de «petits» éditeurs courageux. Ils démontrent une belle vitalité de la création littéraire dans nos régions.
Harry Koumrouyan nous entraîne sur les traces d’une lignée arménienne, de l’empire ottoman à New-York en passant par Genève.
Premier roman pour cet ex-directeur d’un Cycle d’orientation, devenu proche collaborateur de Charles Beer.
Au bord du lac Sevan, dans le Caucase, le violoncelliste Joseph Landolt se repose alors qu’il vient d’entamer une carrière internationale: «Il avait trouvé le pays intérieur qu’il cherchait depuis longtemps, l’Arménie.» Mais pour y parvenir, la route n’a pas été facile.
Ancien directeur de collège et haut fonctionnaire au DIP, le Genevois Harry Koumrouyan publie un premier roman foisonnant mais très maîtrisé.
Le 24 avril 1915, à Constantinople, capitale de l'empire ottoman, 600 notables arméniens sont assassinés sur ordre du gouvernement. C'est le début d'un génocide, aux victimes innombrables, et d'une diaspora, pour les survivants.